ouf

me voila ma chere suzy
tu sais cela ma rapeller la premiere fois chez darnna
ou tous le monde m ecrivais
va y tagdite , va la , non pas la
ici
on ta mis le lien etc
bref j y suis jy reste
aller ma belle je vais t envoyais ce que j ecris
tu en fais bon usage
ta copine tagdite

VOILA POUR MES PETITS ENFANTS QUE J ADORENT
LA CIGALE T LA FOURMI
La cigale ayant chanté tout l été
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue
Pas un seul petit morceau de mouche ou de vermisseau
Elle alla crier famine
Chez la voisine la priant de lui preter qulque grain pour subsister jusqu a la saison nouvelle
« je vous paierai , lui dit _elle avant l aout , foi d animal , intret et principal
La fourmi n est pas preteuse c est la son moindre défaut
Que faisiez _ vous au temps chaud
Dit _ elle à ctte emprunteuse
Nuit et jour à tout venat je chantais , ne vous déplaise .

Vous chantiez ? J EN UIS FORT AISE
EH BIEN ! dansez maintenant . »
tagdite

Bonjour tous les membres
Voila comme promis auj c est minouche et le petit indien ,le loup blanc petit loup blanc connaissait bien la maison de minouche désormais .
Un soir , avant de s’endormir , minouche dit à petit loup blanc
« demain matin , je t’emmène à l’ecole
Petit loup blanc partit se cacher sous le lit , » non , je n irai pas à l’école , je veux rester ici et jouer dans le couloir
Minouche se facha « ecoute , petit loup blanc , tu n es pas gentil .tu es venu vivre avec moi en France et tous les petits enfants de France vont à l école .et puis tu vas rencontrer tous mes copains !
Je suis certaine qu ils vont beaucoup t aimer
Mais petit loup blanc boudait sous le lit de minouche ,et elle comprit qu il était jaloux .il n avait pas du tout , mais pas du tout envie de connaître les amis de minouche .
L ami de minouche , c était lui et lui seul !
Et il s endormit tout triste
Au petit jour , minouche le réveilla
« allez , debout , petit loup blanc ! on va à l école ! »
Comme il ne bougeait pas , elle le tira par les pieds et lui dit ;
« ecoute , j ai besoin de toi ;;;; tu sais , je n ai pas de très bonne notes depuis quelque mois .et puis , c est de ta faute aussi ! je ne faisais que rever à toi quand tu vivais au canada , alors , je n’apprenais plus mes lecons .il faut que tu m aides
Mais comment , ?dit petit loup blanc en se relevant
Eh bien , tu vas entrer dans mon cartable
Quoi ?
EH BIEN OUI ? TU VAS ENTRER DANS MON CARTABLE ? POUR que personne ne te voie et je vais t’emmener dans ma classe , tu écouteras bien ce que dit la maitresse et le soir ; tu m expliqueras tout ce que je n ai pas compris .tu me feras réciter mes lecons et j aurai enfin de bonnes notes «
Tout ca ne plaisait guere à petit loup blanc , mais enfin , il était le meilleur ami de minouche , il fallait bien qu il le prouve
Alors , petit loup blanc se faufila entre les cahiers et la trousse de crayons et s installa tant bien que mal dans le cartable de minouche
Malgre tout ,il n etait pas tres content et meme quand on est un petit garcon « pas vrai « , ce n est pas agrenble d etre assis au milieu des gommes et des livres d histoire
« si encore elle avait mis son gouter dans son cartable ,,,,, ) dit petit loup blanc en grommelant
Qu est ce que tu dis , petit loup blanc , je ne t entends pas bien
Rien , rien
Et ils partirent pour l ecole
Minouche était à peine arrivée au bout du chemin que tout à coup elle sursauta
« petit loup blanc ! tes plumes ! veux _tu rentrer tes plumes
Et on voyait au bout du bras de minouche un cartable d’où se balancaient trois plumes , vertes , rouge , et bleu
Minouche expliqua à petit loup blanv qu il devait bien se tenir quand il sortait de la maison et qu à l’école , il n etait pas question de faire des betises
Soudain elle vit quelque chose bouger
« oh non ! ce n est pas vrai ! petit loup blanc tes orteils ! rentre tes orteils !
Le voyage fut mouvementé ! minouche était assez inquiete en arrivant ce matin là à l’école , surtout qu elle venait d entendre une petite voix monter de son cartable « minouche ,,,, j ai mal au cœur «
Toute la journee , petit loup blanc écouta de toutes ses oreilles ce que disait la maitresse .il avait un peu faim , mais de temps en temps , minouche ouvrait son cartable , et en faisant mine de chercher un cahier ou un livre , elle caressait la tete de petit loup blanc
Et meme , pendant la recreation , minouche ne quitta pas son cartable et petit loup blanc riait tout seul en pensant à le tete des petits écoliers qui lui disaient , » allez , viens jouer minouche et lache ton cartable ! on ne te le volera pas !
S ils avaient su qu il y avait dans ce cartable le plus grand tresor qu un enfant puisse imaginer !
Minouche répondait , non , non , je suis fatiguée ,, je me repose,,
En revenant à la maison à la fin de l apres midi , minouche et petit loup blanc éclatèrent de rire
Ils ne pouvaient pas avaler leur tartines tellement ils riaient
De grosses larmes coulaient sur leur joues et petit loup blanc dit dans un hoquet
« c est rigolo , l ecole ! on y retourne demain ?
Et le petit loup blanc apres quelque mois demande a partir chez lui au canada
Et en route ils commencent a chanter
Ma mere m envoie à l ecole pour apprendre mon A B C D
Je connais mon A B C D
Je n irai plus à l ecole
L alphabet indien de petit loup
Arc
Bison
Carquois
Daim
E cureuil
F lèche
Guerrier
Hache
Indien
Je Kayak Loup
Mocassin
Nuage
Ours
P lume
Queue
Racine
Squaw
T omohawk
Urne
Vampire
Wapiti
Xylophone
Yoyo
Zèbre

OH SEMELLE DU VENT

Si tu me dis que tu m aimerais comme un pere tu me ferais horreur
Si ti pretends m aimer comme une amante , je ne te croirai pas
Dans chaque femme je verrai une rivale préféré
Tes respects me feront sentir mes aimees
Tes caresses ne livreront à la jalousies la plus insensée
Sais tu qu il ya ton sourir de toi qui me montrerait la profendeur de mes maux comme le rayon du soleil qui éclaire un abime.


O bjet charmant , je t adore mais je ne t accepet pas va , chercher la femme dont les bras peuvent s entrelacer aux tiens avec grace , mais ne me le dis pas
A non ne viens plus me tenter
Songe que tu dois me survivre que tu seraa encore longtemps jeune quand je ne serais plus
H ier lorsque tu etais assis avec moi sur cette pierre que le vent dans la cime des pins nous faisait entendre le bruit de la mer ; prêt à succomber d amour et de mélancolie
Je me disais ma main est t elle assez légère pour caresser ta chevelure
Que put t il aimer en moi ? UNE CHIMIERE QUE LA REALITE VA DETRUIRE et pouratnt quand tu penchas ta tete charmante sur mon epaule , quand tes paroles enivrante sortirent de ta bouche
Quand je te vie prêt à m entourer de tes charmes comme une guirlande de fleurs , il me fallut tout l orgueil de mes aimees pour vaincre la tentation de volupté dont tu me vis rougir
Souviens toi seulement des accents passiones que je te fis entendre et quand tu aimeras un jour une femme demande toi s il te plait comme je te parlais et si sa puissance d aimer approcha a jamais la mienne
A h ! qu importe , tu dormiras dans mes bras , tes bras autour de moi et on se reveillera énivrés d délices
« que t importeront les paroles sur la bruyere
Aux semelles du vent

tagdite

LA CREATION DES CHANDELLES
Au commencement , le ciel et la terre étaient proches , tout proches .
Le jour , la terre était baignée de soleil et la nuit , baignée de lune et d etoile
La terre ne connaissait pas les ténèbres aussi les hommes ne s éclairaient jamais , la brillance des étoiles leur suffisait
Au commencement , il y avait une femme grande .quand elle s asseyait au bord de l eau pour se laver , sa tete dépassait les nuages et son regard balayait les horizons .
Un matin , il ventait , un temps revé pour jouer aux cerfs volants !
La dame était d humeur mutine .avec le bout de son balai , elle taquine les nuages , les fait danser , virevolter , chavirer , les nuages l attaquent à leur tour , ils lui envahissent les tympans lui moutonnent la chevelure , lui brouillent la vue , lui rembrunissent l humeur
« RRRRRRRRRRRRRRrrrrrrr ah ! Brrrrrrrrr bourrr « fait _ elle en s ébrouant
Mais ils pesistent et la poursuivent la font éternuer , tousser et pleurer
La dame grande brandit son balai
Elle ne veut plus jouer !
Mais rien n y fait !les nuages attaquent en rang cotonneux , ils l enrobent , l enveloppent de floconc agacants et titillants , ils l encapuchonnent .
La dame grande qui ne connaît ni les tenebres ni la prison , brandit son balai et frappe , frappae elle frape sur les nuages qui vient trente six chandelles et prennent le large .ils entrainent avec eux le cile , les planetes , les etoiles , dans un tourbillon fracassant .LAKATAW fait TAW !l eclair jaillit ! TAW §LAKATAW ! TAW
. . c est l orage ! transis d effroi , étoiles , planétes , ciel et nuages s en vont se réfugier loin , loin dans l espace
La terre est soudain baignée de ténèbres et ses nuits sont à jamais privées d étoiles , de lune et despoir !
La dame grande regrette sa colere .elle tire de ses réserves une boule de suif , une tresse de coton , se fabrique une chandelle , elle l allume à l’éclair qu elle attrape d une main .puis elle se vetit de blanc , d un long voilage diaphane , s assied en tenant dans ses mains , sous le voilage , la chandelle allumée .
Les hommes approchent , la soulevent ; la promènent de maison en maison , elle , la dame à la chandelle , illumine chaque logis et célebre en chantant la fete de la lumiere
Voici comment auraient étè crées les chandelles !
tagdite

Ce que j avais ecris a ma fille le jour de son mariage
Pour ma fille
Je t ai toujours inondée de la lumiere , pourque tu saches un jour comment te débrouiller
Je tai souvent trainer à decoubrir la terre , pour que tu puisses un jour savoir me dépasser
Je tai souvent soignée
J ai appris à me taire , pour te montrer aussi ce qui etait donner
Je t ai toujours aimee , meme en soliatire , pour que tu puisses un jour rire et pleurer
Je t ai parfois poussé plus loin que tes frontieres , pour que tu saches un jour un peu mieux naviguer
Je t ai aussi peiné , mais il fallait le faire , pourque tu puisses un jour apprendre à t envoler
Auj , tu vas débuter ton voyage , un long voyage et avancer parfois en retrouvant tes pleurs , fais confiance à demain , évite les naufrages , comme moi autrefois , avoir la peur aux cœurs .
Puis essaye de découvrir les merveilleux sourirs et lache ceux que tu auras pris le soin d entourer , et tu devras parfois retenir un soupir , essuyant les larmes d un enfant aue tu aura révé inondé de limiere
Et tu voudras lui montrer comment te dépasser
Ta maman qui t aime tres fort
Bonjour lili
Comme promis je te depose quelque chose
A l aube , il ya ta presence , il ya ton sourire débordant de chaleur , jour et nuit résonne ton nom
J ai besoin d une seule chose , c est toi
J ai juste envie c est de tjs t avoir pres de moi
Sans toi mon cœur fuit ,,,,,,
Bonne lecture a tous

Comme promis je te depose quelque chose
A l aube , il ya ta presence , il ya ton sourire débordant de chaleur , jour et nuit résonne ton nom
J ai besoin d une seule chose , c est toi
J ai juste envie c est de tjs t avoir pres de moi
Sans toi mon cœur fuit ,,,,,,
Bonne lecture a tous

tagdite

LES PAROLES SUR LA BRUYERE

A vant d entrer dans la societe , j errais autour d elle , maintenant que j en suis sorti , j en suis également à l écart , vielle voyageuse sans asile , je vois le soir chacun rentrer chez soi fermer la porte , je vois le jeune amoureux se glisser dans les ténebres et moi asise sue la borne , je compte les étoiles , ne me fie a aucune et j attends l aurore qui na rien à me conter de nouveau t dont la jeunesse est une insulte à mes cheveux quand je me reveille avant l aurore , je me rappelle ces temps ou je me levais pour ecrire a l homme que j avais quitee quelque heures auparavent , a peine y voyais je assez pour tracer mes lettres à la lueurde l aube , je disais à la personne aime toutes les délices que j avais goutés , le lieu ou je devais le retrouver sur quelque promenade désete etc,
Maintenat quand je vois paraître le crepuscule et que la natte de couche je promenes mes regards sur les arbres à travers ma fenetre rustique , je me demande pourquoi le jour se léve pour moi , ce que j ai à faire , quelle joie m est possible ,et je me vois errant seule
De nouveua comme la journee precedente gravissant les rochers sans buts ,sans plaisir , sans former un projet , sans avoir une seule pensee , ou bien assise dans une bruyere regardant paitre quelque moutons ou s abattre quelque corbeau sue une terre non labouree
La nuit revient sans m amener mon compagnon , je m endors ;avec des reves pesants ou je veille d importuns souvenir pour dire encore au jour levant
Soleil , pourquoi , te leves _tu, ?
Il faut remonter haut et loin pour trouver l origine de mes supplice , il faut retourner à cette aurore de ma jeunesse ou je me créai un fontome d homme pour l adorer
Je m epuisai avec cette creature imaginaire puis vinrent les amours reels qui n
atteignirent ;;;;;;;;jamais à cette felicité imaginaire dont la pensee était dans mon ame , j ai su ce que c etait que vivre pour une seule idee et avec une seule vue de s isoler dans un sentiment , de perdrer de vue l univers et de mettre son existence entiere dans un sourire , dans un mots , dans un regard
alors meme une inquietude insurmontable troublait mes délices je me disais « m aimera – t – il demain comme aujpurd hui « un mots qui n etait pas prononce avec autant d ardeur que la veille , une regard distrait , un sourir adrese à une autre moi , me faisait à l instant désesperer de mon bonheur , j en voyais la fin et je m en prenais à moi-même de mon ennui
je n ai jamais eu l envie de tuer ma rival ou la femme dont je voyais s eteindre l amour ,mais toujours de me tuer moi-même et je me croayais coupable parceque je n etais plus aimee
repousee dans le desert de ma vie , j y rentrai avec toute la poesie de mon desespoir
je cherchais pourquoi dieu m avait mis sur terre et je ne pouvais le comprendre quelle petite place j occupais ici bas
quand tout mon sang se serait écoulé dans les solitudes ou je m enfoncais
combien aurait _ il rougi de brin et de bruyere
et mon aime qu etait ce
une petite douleur évanouie en se melant dans le vent
et pourquoi tout ces mondes autour de cette creature
pourquoi voir tant de choses
j errai sur le globe changeant de place sans changer d etre , cherchant toujours et ne trouvait rien , je vis passer devant moi de nouvelles enchanteresses , les un trop beau pour moi et je n aurai ose leur parler
les autres ne m aimient pas et je me disais dépeche toi donc d etre heureuse encore un jour et tu ne pourras plus etre aimmees
le spectacle du bonheur des generations nouvells qui s leveront autour de moi , m inspirait les transports de la plus noire jalousie
si j avais pu les aneantirs , je l aurai fait avec le plaisir de la vengence et du desepoir


tagdite

VOIS TU quand je me laiserais aller à une folie je nesuis pas sur de t aimer demain , je ne crois pas à moi , je m ignore , la passion me dévore et je suis prete à me poignarder ou à rire
Je t adore
Mais dans un moment j aimerai plus que toi le bruit du vent dans ces rochers , un nuage qui vole , une feuille qui tombe
Puis je prierai dieu avec larmes
Puis j invoquarai le neant
Veux tu me combler de délices
Fais une chose sois à moi puis laisse moi te percer le cœur et boire tout ton sang
H bien
Oseras tu maintenant te hasarders avec moi dans cette aventure
tagdite

OH SEMELLE DU VENT

Si tu me dis que tu m aimerais comme un pere tu me ferais horreur
Si ti pretends m aimer comme une amante , je ne te croirai pas
Dans chaque femme je verrai une rivale préféré
Tes respects me feront sentir mes aimees
Tes caresses ne livreront à la jalousies la plus insensée
Sais tu qu il ya ton sourir de toi qui me montrerait la profendeur de mes maux comme le rayon du soleil qui éclaire un abime.


O bjet charmant , je t adore mais je ne t accepet pas va , chercher la femme dont les bras peuvent s entrelacer aux tiens avec grace , mais ne me le dis pas
A non ne viens plus me tenter
Songe que tu dois me survivre que tu seraa encore longtemps jeune quand je ne serais plus
H ier lorsque tu etais assis avec moi sur cette pierre que le vent dans la cime des pins nous faisait entendre le bruit de la mer ; prêt à succomber d amour et de mélancolie
Je me disais ma main est t elle assez légère pour caresser ta chevelure
Que put t il aimer en moi ? UNE CHIMIERE QUE LA REALITE VA DETRUIRE et pouratnt quand tu penchas ta tete charmante sur mon epaule , quand tes paroles enivrante sortirent de ta bouche
Quand je te vie prêt à m entourer de tes charmes comme une guirlande de fleurs , il me fallut tout l orgueil de mes aimees pour vaincre la tentation de volupté dont tu me vis rougir
Souviens toi seulement des accents passiones que je te fis entendre et quand tu aimeras un jour une femme demande toi s il te plait comme je te parlais et si sa puissance d aimer approcha a jamais la mienne
A h ! qu importe , tu dormiras dans mes bras , tes bras autour de moi et on se reveillera énivrés d délices
« que t importeront les paroles sur la bruyere
Aux semelles du vent

tagdite

:coucou: tagdite tu écris très bien merci je suis heureuse de t avoir au , voila pour toi :fleur:

Tres jolis poemes
Sui la, il commence par
Il pleut, il pleut...
et continu en image....
http://www.alientechnologie.com/content.php?article.180
patience au telechargement

bonsoir admin , hasib , suzanne
je suis a casa pour un moment
ma suzy je uis sur msn mais tu n es plus dans mes contacts 3lach allah ou3lam
bisou
tagdite :bonjour: